Ils pensaient revenir dans leur pays construire un Burkina Faso nouveau : envoyés faire leurs études à Cuba en 1986 par le président et « père de la révolution burkinabè » Thomas Sankara, 600 jeunes de milieux défavorisés, en majorité orphelins, seront délaissés à leur retour après l’assassinat de leur « père spirituel ». Aujourd’hui, ils se battent pour obtenir réparation.