Malgré la poule unique, l’UEFA indique que le principe de non-confrontation entre formations d’un même championnat se poursuivra dans la nouvelle formule en place à partir de 2024-2025. Par ailleurs, un club ne pourra affronter que deux adversaires maximum d’un même pays.
Certaines zones d’ombre entourent encore la complexe formule adoptée par la Ligue des champions à partir de 2024-2025. Celles-ci concernent majoritairement le tirage au sort de la phase de groupe unique, qui réunira les 36 équipes mais ne proposera « que » huit matches contre autant d’équipes différentes.
Mais avec potentiellement six équipes qualifiées dans certains pays (en cas de victoire de Dortmund en C1 ou de Bergame en C3 cette saison), l’UEFA poursuivra-t-elle sa politique de non-confrontation entre clubs d’un même pays ?
Pas de Stade Brestois-PSG… « sauf en cas d’impasse »
Oui, répond l’instance européenne à Ouest-France, « sauf en cas d’impasse ». Une formule encore floue alors que le « système suisse » utilisé par l’UEFA n’a pas encore été mis à l’épreuve. Par ailleurs, l’UEFA précise qu’« en phase de championnat (nouveau nom de la phase de groupe) , les équipes peuvent affronter au maximum deux adversaires du même pays, sauf en cas d’impasse. »
Théoriquement, le Stade Brestois ne devrait donc pas rencontrer le Paris Saint-Germain tandis que l’AS Monaco ne devrait pas pouvoir rencontrer à la fois le Real Madrid, le FC Barcelone et l’Atlético de Madrid.