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Retour de Zinedine Zidane – Thierry Henry : « Zidane ne pense qu’…»

S’il n’a toujours pas retrouvé de banc depuis son départ du Real Madrid, Zinédine Zidane continue d’alimenter l’actualité. Le nom de l’ancien meneur de jeu de l’équipe de France a fait l’objet d’un large feuilleton l’été dernier, lorsqu’il était associé au Paris Saint-Germain pour succéder à Mauricio Pochettino. Mais pour des raisons multiples, Zidane n’a pas saisi l’opportunité du club de la capitale.

Zidane ne pense qu’aux Bleus

C’est le sens de l’histoire : tout porte à croire que Zinédine Zidane sera le prochain sélectionneur de l’équipe de France. Alors que le contrat de Didier Deschamps expire après la Coupe du monde 2022 au Qatar, Zidane émerge comme l’unique candidat crédible au poste. Et à en croire son ancien coéquipier Thierry Henry, il n’a que cette idée en tête.

Appelé à commenter une possible arrivée de « ZZ » sur le banc de la Juventus, au sein d’un club en pleine crise, Henry s’est montré très clair. Selon lui, cette hypothèse est à oublier. « Zidane à la Juventus Turin ? Il ne va pas là-bas, je pense qu’il attend l’équipe nationale, a lâché Thierry Henry dans des propos tenus pour CBS Sports, où il exerce en qualité de consultant. Vous avez gagné trois Ligue des Champions avec le Real Madrid, pourquoi vous embêter à gérer d’autres clubs alors que vous pouvez avoir l’équipe nationale« , a conclu le meilleur buteur de l’histoire d’Arsenal.

Quoiqu’il en soit, le principal intéressé n’a pas caché ses velléités. «Quand je dis que j’ai envie de prendre un jour l’équipe de France, je l’assume, avait confié Zidane dans un entretien accordé à L’Équipe pour ses 50 ans, l’été dernier. Aujourd’hui, une équipe est en place. Avec ses objectifs. Mais si l’opportunité se présente ensuite, alors je serai là. Encore une fois, cela ne dépend pas de moi. Mon envie profonde est là. L’équipe de France est la plus belle chose qui soit. Quand on te donne le maillot de l’équipe de France, c’est particulier. Mes premières sélections étaient particulières. Il y avait des joueurs incroyables comme Cantona, Ginola ou Blanc. Quand tu goûtes aux Bleus, c’est magnifique. C’est tellement fort, puissant… ». Quatre mois plus tard, le message raisonne un peu plus.